MYSTÈRES DE STRUCTURES INEXPLIQUÉES
A travers le développement et les réalisations de la science moderne, l’être humain croit de plus en plus que la science détient le pouvoir de donner une explication pour chaque chose existant sur notre planète et dans notre univers. Bien que de nombreux phénomènes et constructions dans le monde aient une explication scientifique, certaines vestiges demeurent toujours inexpliqués par les connaissances scientifiques actuelles.
Teotihuacán ( qui s’orthographie également Teotihuacán, avec un accent sur la dernière syllabe, même si cela ne correspond pas à la prononciation en nahuatl ), est un important site archéologique de la vallée de Mexico, contenant certaines des plus grandes pyramides méso - américaines jamais construites en Amérique précolombienne.
Outre ses structures pyramidales, Teotihuacán est également connue pour ses grands complexes résidentiels, sa chaussée des Morts, et ses nombreuses peintures murales aux couleurs bien conservées.
La ville a sans doute été construite aux environs de 200 avant notre ère, et habitée jusqu’à sa chute entre les VIe et VIIe siècles. À son apogée dans la première moitié
du Ier millénaire, à l’Époque classique, Teotihuacán était la plus grande ville de toute l’Amérique précolombienne.
À ce moment, elle pourrait avoir compté plus de 200 000 habitants, ce qui la plaçait à l’époque parmi les plus grandes villes du monde. La civilisation et le complexe culturel associé au site sont également désignés sous le nom de Teotihuacán ou Teotihuacano.
Ainsi, lors de la dernière campagne de 2004, les archéologues ont découvert, dans les niveaux datés
de 250 à 300, une tombe exceptionnelle. Douze personnes, les mains attachées dans le dos, y avaient été sacrifiées. Dix avaient été décapitées et déposées sans ménagement dans un coin de la tombe,
tandis que les deux autres corps étaient richement parés pendants d’oreilles et perles en jade,
collier en forme de mâchoire humaine….
Coordonnées 19° 41′ 30″ Nord
98° 50′ 30″ Ouest
C’est une de ces découvertes que l’on fait par hasard. Il y a dix ans, en 2003, des géophysiciens israéliens effectuent, à l’aide d’un sonar, le relevé du fond du lac de Tibériade, au nord-est du pays, lac également connu sous le nom de mer de Galilée, en référence à la région dans laquelle il se trouve. Surprise : au niveau de la rive sud-ouest, à seulement quelques hectomètres de la plage, un grand disque sombre d’une bonne cinquantaine de mètres de diamètre apparaît sur le relevé .
Coordonnées Google map
Les images prises lors de la plongée montrent que cette structure est composée de gros rochers de basalte. Si l’on excepte sa forme circulaire, l’ouvrage n’a pas d’organisation particulière et, d’ailleurs, aucune trace visible n’indique que les pierres aient été taillées.
Les auteurs de l’étude n’ont cependant aucun doute sur le fait que ce tumulus a été construit par l’homme, étant donné que les plus proches affleurements de basalte se trouvent à des hectomètres de là. Les chercheurs ont estimé qu’il y en avait pour 25 000 mètres cubes et 60 000 tonnes de rochers. Et ils se sont arrêtés là, faute de moyens pour entreprendre une fouille approfondie sous l’eau.
Pourtant, à écouter l’archéologue israélien Dani Nadel ( université d’Haïfa ), qui a quo-signé cette étude, ce n’est pas l’envie qui leur manque car cette structure est un condensé de mystère : " C’est très énigmatique, c’est très intéressant, a-t-il dit à Associated Press, et le résumé de l’histoire c’est que nous nous ne savons pas d’où cela vient, nous ne savons pas à quoi cela se rapporte, nous ne savons pas sa fonction.
Nous savons seulement que c’est là, que c’est énorme et que c’est inhabituel. "
On fait difficilement mieux dans la déclaration frustrée…
Cartes de localisation :
a) La mer de Galilée est délimitée par des failles (failles affichées par des lignes blanches continues) dans
son bassin. Jordanie (J, ligne pointillée), le principal fournisseur de l’eau du lac,
vient du nord et du sud dirigé.
b) carte bathymétrique du lac, basé sur l’étude multi faisceaux (Sade et al, 2008) avec l’emplacement de la
structure monumentale (rouge) .. (Shmuel Marco)
Göbekli Tepe est un site archéologique situé dans le sud de la Turquie, près de la ville moderne d’Urfa. Il contient au moins 20 anneaux de pierre ( cercles à l’intérieur d’un cercle ) qui remontent à plus de 11.000 ans (13.000 ans pour le début des constructions).
Des blocs de calcaire en forme de T alignés en cercles et des gravures en reliefs sont visibles sur eux.
Il y a bien longtemps, des gens ont remplit le cercle extérieur avec des débris
afin de construire un nouveau cercle à l’intérieur.
Göbekli Tepe, qui veut dire en Turc la Colline au Nombril, est situé au Sud Est de la Turquie près de la frontière Syrienne. Ce site a été prés senti en 1964 de part la nature étrange de la colline qui ne semblait pas naturelle et les nombreux silex retrouvés à cet endroit.
Des pointes de flèches et des couteaux antiques faits de roches volcaniques ont été découverts dans ce qui est pour l’instant connu comme le plus
vieux Temple du monde, et laissent à penser que le site Turque était la plaque tournante d’un pèlerinage ou d’un lieu de réunion
qui a attiré certains groupes différents de personnes il y a 11.000 ans au moins.
Coordonnées 37° 13′ 23″ Nord 38° 55′ 21″ Est
L’hypothèse la plus probable est qu’il s’agit de la plus ancienne construction
religieuse de l’histoire de l’Humanité !
A cette époque, l’homme ne savait même pas faire un vase en terre cuite, et ces vestiges attestent de l’existence de monuments qu’il aurait
fallu plusieurs siècles à bâtir ! Les sculptures retrouvées sont d’une qualité exceptionnelle et leur taille dans des pierres massives de plusieurs tonnes ( on y trouve
200 piliers sculptés pesant entre 5 et 20 tonnes ! ) aurait nécessité à elles seules
peut-être des décennies !
Ce site qui révèle un culte religieux alors que les hommes n’étaient que des nomades vivant de chasse et de cueillette accrédite les thèses
de Jacques Cauvin et de Schmidt qui pensent que ce sont les pratiques religieuses qui seraient à l’origine de la vie en société, et qui aurait
à son tour nécessité le développement de techniques agricoles.
La forteresse de Sacsayhuaman se situe à deux km de la ville de Cuzco, dressée sur une colline.
C’est une construction imposante de murailles s’élevant sur au moins trois niveaux.
Elle a été érigé par Pachacutec, puis terminée sous le règne d’au moins deux autres incas
( probablement Tupac Yupanquiet Huayna Capac ).
Construite dans le but de défendre, cette forteresse avait l’étrange propriété
d’avoir été bâtie en forme de Puma.
Le Puma était un animal sacré dans la cosmologie inca.
C’est dans cette forteresse que s’est joué l’un des derniers épisodes de la conquête du Pérou.
On estime aujourd’hui que la construction de cette forteresse aurait durée 50 ans,
et nécessite le travail de 20000 hommes.
Elle est composée de trois remparts parallèles longs de 600 m, disposés en zigzags, constitués de blocs
parfaitement assemblés et encastrés les uns dans les autres.
On trouvait à l’intérieur trois tours dont il reste les fondations. L’une d’entre elles abritait l’inca et sa cour L’autre avait une fonction
religieuse et était vouée au culte du soleil.
La dernière était réservée aux provisions.
Le 26 juin 1998, un pilote d’avion charter, Trec Smith, volait au-dessus de l’Australie entre Marree and Coober Pedy, à Finnis Springs, 60 km à l’ouest de Marree au centre de l’Australie du Sud, quand il a repéré qu’il y avait au sol une très grande représentation d’un homme nu lançant un bâton.
L’homme de Marree ou géant de Stuart semble décrire un homme aborigène d’Australie, probablement un membre du peuple Pitjantjatjara, chassant les oiseaux ou les wallabys à l’aide d’un bâton à lancer. Il est situé sur un plateau à Finnis Springs, 60 km à l’ouest de la ville de Marree, dans le centre de l’Australie-Méridionale, juste à l’écart de la zone interdite de Woomera.
Le dessin est long de 4,2 km et sa circonférence atteint 15,3 km. Il s’agit du plus grand géoglyphe connu dans le monde, mais ses origines restent mystérieuses, aucun témoin n’ayant assisté à sa réalisation.
Au moment de sa découverte, les lignes qui composent l’œuvre sont profondes de 20 à 30 cm et peuvent atteindre 35 m de large. Le dessin s’érode graduellement ; le climat du lieu étant extrêmement sec,
il est toujours visible.
Désiré Geoffroy Para-psychologue - Occultiste - Cabaliste.
Diplômé en Sciences de Médecines Ésotériques et Arts Occultes. Maître en Consécration Talismanique.